Bel été à tous ! Pour information, le comité de liquidation débutera ses travaux le trimestre prochain....
Ce samedi 30 juin 2018, plusieurs centaines d'adhérents de l'ACIPA ont participé à une AG extraordinaire pour enten...
Informations spéciales pour les adhérents de l'ACIPA Vous avez sans doute reçu ce début de semaine, la convocation ...
Organisation de l'accueil de l'étape : Coordination des opposants Mise à jour du 19 juin 2018 Avez-vous réserv...
Information importante aux adhérents de l'ACIPA Depuis que, le 17 janvier dernier, le gouvernement a annoncé l’a...
Ce mardi 23 mars, 4 grévistes de la faim de Nantes en 2012, accompagné-e-s de quatre militant-e-s ont rencontré les...
La préparation de notre désormais traditionnel rassemblement estival avance... Des forums, des débats, des confére...
L’ACIPA remercie toute la population des environs immédiats de Notre-Dame-des-Landes et tous les comités de soutien...
2 ateliers de préparation les 3 et 4 juillet avec la compagnie des Ballons Pirates se tiendront à la Vache Rit, Les...
L'Assemblée Générale ordinaire de l’ACIPA aura lieu le samedi 26 novembre 2016 à 14h à Sucé sur Erdre, salle de la ...
Le collectif COPAIN très engagé dans la lutte de Notre Dame des Landes communique :
Nous constatons quelques conflits d'usage sur le foncier à l'intérieur de la ZAD, nous voudrions rappeler quelques évidences juridiques :
Dans le déroulement de la procédure d'expropriation des terres, les propriétaires et les fermiers ont eu deux choix : l'accord amiable avec AGO-Vinci ou bien l'absence d'accord et la procédure d'expropriation.
Accord amiable, comme son nom l'indique signifie que les deux partenaires signent de leur plein gré.
L'expropriation signifie que le cédant n'est pas d'accord et l'Etat, compte tenu de la déclaration d'utilité publique, impose la vente au propriétaire ou le renoncement au bail pour le fermier à des conditions fixées par le juge d'expropriation. Concrètement, cela se passe par l'envoi d'une ordonnance d'expropriation par le juge, d'une offre par AGO et la convocation devant le juge.
Ainsi, quand la déclaration d'utilité publique du projet de transfert d'aéroport va être annulée, seules les personnes ayant reçu une ordonnance d'expropriation, peuvent dans un délai de deux mois, demander l'annulation de l'ordonnance, c'est-à-dire le retour à la situation avant Déclaration d'Utilité Publique.
Les propriétaires expropriés vont récupérer leurs biens alors que ceux qui ont vendu amiable ne seront pas prioritaires pour acheter leurs parcelles, si toutefois l'Etat veut les vendre.
De même, les fermiers expropriés reviendront à la situation initiale, c'est-à-dire seront titulaires de leur bail.
Ce qui ne sera pas le cas des fermiers qui ont signé un accord amiable, c'est-à-dire un renoncement à leur bail, ils n'auront aucune priorité sur le plan juridique pour continuer à exploiter les parcelles concernées.
La position du collectif Copain :
Les exploitants impactés ont été perturbés par ce projet qui leur a été imposé. Chacun a fait ses choix dans cette situation de contraintes.
Si un exploitant ne revendique pas les terres auxquelles il a renoncé et pour lesquelles il a reçu une indemnité, personne ne peut le critiquer ; on peut regretter que son attitude n'ait pas été très militante, mais c'est son droit.
Par contre, si l'exploitant veut reprendre ses parcelles, après renoncement amiable au bail, l'expression qui vient à l'esprit est « prendre le beurre et l'argent du beurre » et cela se discute.
On peut comprendre que l'utilisation, l'entretien des terres soit utile à la communauté en préservant le potentiel agricole des terres. On peut entendre qu'une petite exploitation ait besoin de ses terres.
Pour nous Copain, qui nous battons pour défendre les terres agricoles et vivrières avec de nombreux paysans, la demande de nouvelles installations est prioritaire face à de grosses exploitations qui veulent reprendre des terres auxquelles elles avaient renoncé. En effet, elles ont touché de l'argent en dédommagement de ces terres et elles se sont agrandies sans concurrence des voisins car elles étaient impactées par le projet.
Ce texte en 6 points a pour but de poser les bases communes nécessaires pour se projeter sur la ZAD une fois le projet d’aéroport définitivement enterré.
Il a été réfléchi au sein d’une assemblée régulière ayant pour objet de penser à l’avenir des terres une fois le projet d’aéroport abandonné. Assemblée qui regroupe des personnes issues des différentes composantes du mouvement de lutte. Ce texte a été longuement débattu, à plusieurs reprises, dans de multiples composantes et espaces d’organisation du mouvement.
Nous défendons ce territoire et y vivons ensemble de diverses manières dans un riche brassage. Nous comptons y vivre encore longtemps et il nous importe de prendre soin de ce bocage, de ses habitant-e-s, de sa diversité, de sa flore, de sa faune et de tout ce qui s’y partage.
Une fois le projet d’aéroport abandonné, nous voulons :
Nous semons et construisons déjà un avenir sans aéroport dans la diversité et la cohésion. C’est à nous tout-e-s, dès aujourd’hui, de le faire fleurir et de le défendre.
Les adhérents de l’ACIPA, réunis en assemblée générale le 14 novembre 2015, réaffirment leur détermination à obtenir l'abandon du projet d’aéroport à Notre Dame des Landes, par l'abrogation de la Déclaration d’Utilité Publique du 9 février 2008.
Nous rappelons, comme l’a fait à plusieurs reprises le Président de la République lui-même, que les recours juridiques doivent aller à leur terme, ceci englobant les procédures d’appel.
Nous citoyennes et citoyens, avec les occupantes et les occupants de la zone, luttons pour sauver le bocage avec sa richesse actuellement présente.
Nous pensons que les agriculteurs qui ont signé et accepté, à l'amiable, de mettre fin à leur droit d'exploiter leurs terres sur la ZAD - moyennant des indemnités payées par AGO-Vinci et l'État - n’ont aucun droit pour continuer à les cultiver après l'abandon de la D U P.
Actuellement des réflexions sont en cours sur ces sujets :
Aujourd'hui, l’ACIPA est solidaire de l'ADECA, du COPAIn et des habitants de la ZAD pour soutenir le projet d'installation paysanne progressive de Wilhem sur le site de St Jean du Tertre. Ce site a été collectivement préservé de la destruction fin avril 2014 mais l’ancien exploitant - qui a accepté à l'amiable les indemnités d'AGO-Vinci et de l'Etat - entend continuer à utiliser le bâtiment et les terres avec l’accord d’AGO.
Maintenant, en soutenant ce projet d'installation d'un jeune agriculteur, ensemble nous devons avoir conscience de poser un acte légitime et fort, pour l'avenir de cette zone sans aéroport avec des projets de vie intéressants.
Association Citoyenne Intercommunale des Populations concernées par le projet d'Aéroport de Notre Dame des Landes Association luttant contre la création d'un autre aéroport à Nantes (Loire Atlantique), sur les communes de Notre Dame des Landes, Grandchamp des Fontaines, Vigneux de Bretagne et Treillières
POURQUOI DIRE NON |
Ce qu'il faut savoir |
Fiches thématiques |
Tracts |
MULTIMEDIA |
Vidéos |
Publications |
Photos |
Sons |
A PROPOS DE L'ACIPA |
Qui sommes-nous ? |
Conseil d'Administration |
Recevoir la lettre d'info |
Mentions légales |
RÉSEAUX SOCIAUX |
Google+ |
NOUS SOUTENIR |
Devenez membre |
Signez la pétition |
Participez à la souscription |
Boutique de soutien |
CONTACT |
Nous contacter |
Espace presse |